Pour l’essentiel, son rapport apporte un soutien total au plan d’action de la Commission. Il invite par ailleurs les États membres à s’assurer que le consentement éclairé ou l’objection au don d’organe par une personne décédée ou sa famille sont clairement définis d’un point de vue légal. Il souligne l’extrême importance que revêt le fait d’établir des systèmes d’opération bien structurés et de promouvoir des modèles réussis au niveau national. Il souligne également que la formation continue devrait constituer une part essentielle des stratégies de communication des États membres en la matière. En particulier, les gens devraient être encouragés à parler du don d’organe et à faire part de leurs souhaits à leur famille. Il invite les États membres à améliorer les connaissances et les capacités de communication des professionnels de santé et des groupes de soutien aux patients sur le don d’organe.
Date de publication : 12 Février 2010
Date de modification : 12 Février 2010